Chroniques d’un Nouveau Monde (2025)
Anticipation géopolitique et apocalyptique, 382 pages.
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Synopsis :
Que feriez-vous si vous étiez entraîné dans une spirale chaotique d’effondrement mondial, dont l’ampleur dépasserait largement les crises actuelles ?
Plongez-vous dans les décennies d’un univers apocalyptique où individus et sociétés subissent des transformations radicales, où l’application de nouvelles idéologies se heurte à la soif de pouvoir, et où la domination des armes rivalise avec celle de la technologie et du contrôle humain.
Ce monde pourrait être le vôtre… ou du moins celui dans lequel vous pourriez vivre bientôt ! Auriez-vous alors le courage de survivre et de chercher un monde nouveau, ou succomberiez-vous à l’anéantissement ?
Explications supplémentaires :
Cet ouvrage est la réédition augmentée de Chroniques d’un nouveau monde sorti en 2020. Il comprend la version première de ce premier, revue et condensée, ainsi que sa suite inédite.
J’ai décidé de sortir cet ouvrage en auto-édition dans un format uniquement virtuel : epub ou kindle. En effet, une publication physique m’obligerait à défendre l’ouvrage « sur le terrain » pour rentabiliser l’investissement bien plus onéreux, ce qui m’est impossible en raison de mes engagements éditoriaux actuels.
Pour les mêmes raisons, cette réédition ne bénéficie d’aucune correction ni couverture professionnelles.
Pour tous ceux qui découvriraient cet ouvrage, quelques explications…
L’histoire prend naissance dans la crise du coronavirus au début 2020. Il s’agit d’un roman d’action et d’anticipation apocalyptique, dans lequel le véritable héros est le monde lui-même. Il ne s’agit pas de greffer une histoire plus ou moins classique sur une toile de fond apocalyptique, mais bien de présenter l’évolution du monde depuis le début des années 2020, à travers le regard d’acteurs entraînés dans cette aventure extraordinaire en tant que témoins et acteurs. J’attache donc une importance particulière à l’analyse de la transformation des sociétés d’un point de vue géopolitique, géoéconomique et militaire, mais également à la psychologie et aux mentalités dans le monde. J’ai tenu à ce que le récit soit le plus réaliste possible, dans les faits et dans leur évolution, afin de pousser à l’identification du lecteur et faire en sorte que le récit soit prenant. Le style se veut donc fluide et le récit, imagé. J’attache une attention particulière à la structuration des chapitres et au rythme d’écriture qui se veut vivant et qui répond à l’état d’esprit de chacun des personnages.
Pour information, les cinq premiers chapitres ont été écrit en 2020 (donc au début de la crise du Covid, le reste en 2024).
Chroniques (de la première édition) :
Ichmagbuecher (16/05/2021)
« L’intrigue est très bien construite, l’auteur maîtrise les relations géopolitiques. Le réalisme est immersif et effrayant. On avance dans un équilibre fragile tel un funambule que le moindre souffle de contrariété peut faire basculer. »
La culture dans tous ses états (09/08/2021)
« Pour apprécier « Chroniques d’un nouveau monde« , il faut juste se laisser emporter par ce récit d’anticipation qui remue et provoque des questionnements chez le lecteur. »
Commentaires de lecteurs (de la première édition) :
Extrait choisi de l’ouvrage :
Cette semaine fut l’une des plus éprouvantes de ma jeune vie ! J’ai été convoqué au quartier général d’Afrique du Nord, situé à plus de trois cents kilomètres au sud-est de la base, non loin de la frontière égyptienne. Une flottille de navires européens s’était aventurée très au sud de sa position habituelle et mes supérieurs craignaient qu’elle ne décide de sortir des eaux internationales dans le seul but de nous provoquer. Il s’agissait d’un destroyer ou d’un croiseur, accompagné par deux frégates.
— La Libye a officiellement demandé l’appui de la Chine pour la protection de son territoire, a rappelé le général présent, ce qui inclut bien sûr ses eaux territoriales.
On m’a donc confié le commandement d’une escadrille susceptible d’intervenir si l’Union européenne passait la ligne rouge.
Les jours qui ont suivi cette annonce, nos yeux ont scruté l’avancée des trois navires européens qui continuaient, lentement mais sûrement, à prendre la direction des eaux territoriales libyennes. Un matin, finalement, mon supérieur m’a ordonné de préparer mes hommes. Après une bonne heure d’attente, on a donné l’autorisation de décoller à nos cinq avions de combat, équipés comme en temps de guerre.
J’ai affiché une mine calme, mais intérieurement je bouillonnais.
Nous sommes arrivés sur zone en peu de temps : les bateaux étaient en train de passer non loin d’un petit îlot de roches et de sable de quelques dizaines d’hectares, visiblement abandonné. J’ai alors constaté avec désarroi que le croiseur en question était un croiseur AEGIS, certainement racheté à la défunte marine américaine. Autrement dit, un bâtiment de ligne dont la spécialité est… la lutte antiaérienne ! À peine avons-nous pris connaissance de cette information que plusieurs missiles ont été lancés dans notre direction. Un de nos appareils a été abattu en vol, tandis que les autres faisaient demi-tour, obéissant à mon ordre. Ça criait dans ma radio ! Dans ma fuite et par une manœuvre habile, mais très risquée, je suis passé suffisamment bas au-dessus des navires pour désorganiser leurs tirs et j’ai envoyé un missile droit devant, juste avant de m’éjecter.
Tout cela n’avait pris que quelques secondes, mais elles ont été les plus longues de ma vie !
Alors que mon parachute se déployait et que je redescendais vers la mer, j’ai eu la grande satisfaction de voir les flammes embraser le bâtiment, signe que je n’avais pas failli dans ma tâche : si elle n’était pas coulée, au moins la flottille ne poursuivrait-elle pas sa mission vers le littoral africain.